Les mycoplasmes sont l'un des principaux agents pathogènes à l'origine de l'urétrite nongonoccique (NGU), de la maladie inflammatoire cervicale et pelvienne, de l’orchite, de l’épididymite, etc. et peuvent provoquer l'infertilité chez les hommes et les femmes1. Ces agents pathogènes peuvent attaquer et détruire les cellules épithéliales génito-urinaires, provoquer l'infection du SIDA et d'autres maladies sexuellement transmissibles. Les maladies cliniques sexuellement transmissibles peuvent être causées par des mycoplasmes (principalement par UU et MH), dont la fréquence est en augmentation. La résistance aux antibiotiques devient de plus en plus grave en raison de l'utilisation abusive des antimicrobiens, ce qui met sérieusement en danger la santé de du corps humain2.
*Some of the antimicrobial agents are coated according the CLSI,Document M43-A6, Methods for Antimicrobial Susceptibility Testing for Human Mycoplasmas.
Des études ont montré que l'UP est associée àNGU, à la qualité du sperme masculin, à l'inflammation pelvienne féminine. Cependant, l'UP est considérée comme une flore normale chez ces patients.3 L'UP peut provoquer une choroïdite, une réponse inflammatoire systémique fœtale, un accouchement prématuré et une infection pulmonaire fœtale.4
L’étape critique du traitement et de la prévention de la propagation des mycoplasmes est un diagnostic précis et opportun. Actuellement, la culture des mycoplasmes est encore reconnue comme une méthode fiable pour diagnostiquer l'infection par les mycoplasmes. 5
Remarques : Les espèces d’UP (Ureaplasma parvum) et d’UU (Ureaplasma urealyticum) sont considérées en ensemble comme Ureaplasma spp.
Le Mycoplasma TIES comprend un milieu sélectif et 20 bandelettes réactives. Le milieu mixte est préparé en mélangeant la poudre lyophilisée et le diluant. Après la mise en culture de l'échantillon avec le milieu mixte, l'urée dans le bouillon de culture peut être décomposée par l'uréase dans Ureaplasma spp. et libérer ainsi NH3. L'arginine dans le bouillon de culture peut être décomposée par l'arginase dans MH et libérer NH3. Le NH3 augmente la valeur pH du bouillon de culture, dont le résultat est lisible en fonction du changement de couleur de l'indicateur. Les espèces d'UP (Ureaplasma parvum) et d'UU (Ureaplasma urealyticum) se distinguent par leur tolérance différente aux ions manganèse. La bandelette contient 12 agents antimicrobiens. Si le mycoplasme est sensible aux agents antimicrobiens, l'activité de l'enzyme sera inhibée, d'où l'absence de changement de couleur.
Contains inhibition agent. The growth of interfering organisms could be inhibited while the growth of Mycoplasma could be promoted.
Utilisé pour dissoudre la poudre lyophilisée.
1. Núñez-Calonge R, Caballero P, Redondo C, et al. L’Ureaplasma urealyticum réduit la motilité et induit des altérations de la membrane des spermatozoïdes humains. Hum. Reprod. 1998;13(1O):2756-2761.
2. Rylander M, Hallander HO. Comparaison in vitro de l'activité de la doxycycline, de la tétracycline, de l'érythromycine et d'un nouveau macrolide, CP 62993, contre Mycoplasma pneumoniae, Mycoplasma hominis et Ureaplasma urealyticum. Scand J Infect Dis Suppl. 1988;53:12-17.
3. Xiao L, Paralanov V, Glass J I , et al. L'ampleur du transfert horizontal de gènes chez les uréaplasmes humains remet en question l'utilité du sérotypage aux fins de diagnostic [J]. Journal de microbiologie clinique, 2011, 49(8):2818-2826.
4. Cunningham S A, Mandrekar J N, Rosenblatt J E, et al. Détection rapide par PCR de Mycoplasma hominis, Ureaplasma urealyticum et Ureaplasma parvum [J].Journal international de bactériologie systématique, 2013, 2013(5):168742.
5.Lefkowitz EJ, Kong FR, Ma ZF, et al. IComité international sur la systématique des procaryotes ; sous-comité sur la taxonomie des mollicutes : procès-verbaux [J]. Int J Syst Evol Microbiol, 2007, 57(1):181-186.
6. Institut des normes cliniques et de laboratoire (CLSI). 2011 Méthodes pour les tests de sensibilité aux antimicrobiens pour les mycoplasmes humains ; Lignes directives approuvées. Document CLSI M43-A.Vol. 31.